Après une carrière d'une soixantaine d'années au service de ses compatriotes beaucerons, québécois et canadiens, il pu profiter d'une paisible retraite bien méritée.
Né le 14 juin 1904, le juge Antoine Lacourcière descend
par sa mère d'un pionnier de St-Victor, François Gosselin qui s'y établit dès 1863, venant de St-Anselme. Son père le docteur Henri Lacourcière, originaire de Nicolet, pratiqua la médecine pendant un demi siècle dans Tring et les cantons voisins, à partir de 1883.
Après des études primaires à St-Victor et à St-Éphrem, le
jeune Antoine entre au collège de Ste-Anne-de-la-Pocatière pour y poursuivre ses études classiques. Bachelier en arts en 1924, il s'inscrivit à la faculté de droit de l'Université Laval d'où il sortit, en 1927, avec la médaille
d'or du Gouverneur Général du Canada. Parallèlement, il décrocha une licence en philosophie.Admis au barreau de Québec la même année, il ouvrit un bureau d'avocat à St-Joseph de Beauce et y pratiqua le droit pendant trente et un ans tout en occupant pendant dix-sept ans la charge de substitut du Procureur Général, jusqu'à ce qu'il soit nommé juge de la cour supérieure, en 1958.
En outre, il a servi ses concitoyens, comme maire de
St-Joseph de Beauce pendant seize ans. C'est sous son règne, soit en 1938, que fut construit l'hôtel municipal,après un référendum auprès de la population de St-Joseph Village. 11 fut aussi préfet du comté de Beauce pendant quatorze ans, fonction qu'il dut abandonner en accédant à la cour supérieure. En 1935, il avait épousé Joséphine Dion qui lui donna quatre enfants.
Après une carrière d'une soixantaine d'années au service de ses compatriotes beaucerons, québécois et canadiens, il pu profiter d'une paisible retraite bien méritée.
Né le 14 juin 1904, le juge Antoine Lacourcière descend
par sa mère d'un pionnier de St-Victor, François Gosselin qui s'y établit dès 1863, venant de St-Anselme. Son père le docteur Henri Lacourcière, originaire de Nicolet, pratiqua la médecine pendant un demi siècle dans Tring et les cantons voisins, à partir de 1883.
Après des études primaires à St-Victor et à St-Éphrem, le
jeune Antoine entre au collège de Ste-Anne-de-la-Pocatière pour y poursuivre ses études classiques. Bachelier en arts en 1924, il s'inscrivit à la faculté de droit de l'Université Laval d'où il sortit, en 1927, avec la médaille
d'or du Gouverneur Général du Canada. Parallèlement, il décrocha une licence en philosophie.Admis au barreau de Québec la même année, il ouvrit un bureau d'avocat à St-Joseph de Beauce et y pratiqua le droit pendant trente et un ans tout en occupant pendant dix-sept ans la charge de substitut du Procureur Général, jusqu'à ce qu'il soit nommé juge de la cour supérieure, en 1958.
En outre, il a servi ses concitoyens, comme maire de
St-Joseph de Beauce pendant seize ans. C'est sous son règne, soit en 1938, que fut construit l'hôtel municipal,après un référendum auprès de la population de St-Joseph Village. 11 fut aussi préfet du comté de Beauce pendant quatorze ans, fonction qu'il dut abandonner en accédant à la cour supérieure. En 1935, il avait épousé Joséphine Dion qui lui donna quatre enfants.
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