Marie-Claire-Adine (née Fafard) Drolet
Musicienne (chanteuse soprano dramatique)
Études chez les soeurs de Jésus-Marie de Sillery, avec la professeure Céline Marier, puis à Paris auprès de Gabriel Fauré. Professeure de musique. Fondatrice du Conservatoire de musique de Québec en 1910.
Elle était la fille de Louis-Auguste Fafard et d'Alphonsine Couillard-Dupuis de l'Epinay-Dupuis. Née à L'Islet, Adine Fafard participe activement à la vie musicale de Québec en qualité de cantatrice et de professeure de chant. Après un séjour de deux ans à Paris qui lui permet de se perfectionner en chant et en piano, elle revient au pays en 1909. Elle présente un concert à l'Auditorium de Québec et toute une série au Château Frontenac. Dotée d'une belle voix de soprano dramatique, elle renonce pourtant à sa carrière de cantatrice pour se consacrer à l'enseignement dès 1911. Elle fonde alors un « conservatoire », c'est-à-dire une école de musique sans but lucratif, où se donnent principalement des cours particuliers. On rapporte que son école suscite un tel intérêt que le gouvernement de Lomer Gouin lui accorde une subvention. Il ne s'agit pas ici du Conservatoire de musique du Québec à Québec qui n'ouvre ses portes qu'en 1944.
Musicienne (chanteuse soprano dramatique)
Études chez les soeurs de Jésus-Marie de Sillery, avec la professeure Céline Marier, puis à Paris auprès de Gabriel Fauré. Professeure de musique. Fondatrice du Conservatoire de musique de Québec en 1910.
Elle était la fille de Louis-Auguste Fafard et d'Alphonsine Couillard-Dupuis de l'Epinay-Dupuis. Née à L'Islet, Adine Fafard participe activement à la vie musicale de Québec en qualité de cantatrice et de professeure de chant. Après un séjour de deux ans à Paris qui lui permet de se perfectionner en chant et en piano, elle revient au pays en 1909. Elle présente un concert à l'Auditorium de Québec et toute une série au Château Frontenac. Dotée d'une belle voix de soprano dramatique, elle renonce pourtant à sa carrière de cantatrice pour se consacrer à l'enseignement dès 1911. Elle fonde alors un « conservatoire », c'est-à-dire une école de musique sans but lucratif, où se donnent principalement des cours particuliers. On rapporte que son école suscite un tel intérêt que le gouvernement de Lomer Gouin lui accorde une subvention. Il ne s'agit pas ici du Conservatoire de musique du Québec à Québec qui n'ouvre ses portes qu'en 1944.
Marie-Claire-Adine (née Fafard) Drolet
Musicienne (chanteuse soprano dramatique)
Études chez les soeurs de Jésus-Marie de Sillery, avec la professeure Céline Marier, puis à Paris auprès de Gabriel Fauré. Professeure de musique. Fondatrice du Conservatoire de musique de Québec en 1910.
Elle était la fille de Louis-Auguste Fafard et d'Alphonsine Couillard-Dupuis de l'Epinay-Dupuis. Née à L'Islet, Adine Fafard participe activement à la vie musicale de Québec en qualité de cantatrice et de professeure de chant. Après un séjour de deux ans à Paris qui lui permet de se perfectionner en chant et en piano, elle revient au pays en 1909. Elle présente un concert à l'Auditorium de Québec et toute une série au Château Frontenac. Dotée d'une belle voix de soprano dramatique, elle renonce pourtant à sa carrière de cantatrice pour se consacrer à l'enseignement dès 1911. Elle fonde alors un « conservatoire », c'est-à-dire une école de musique sans but lucratif, où se donnent principalement des cours particuliers. On rapporte que son école suscite un tel intérêt que le gouvernement de Lomer Gouin lui accorde une subvention. Il ne s'agit pas ici du Conservatoire de musique du Québec à Québec qui n'ouvre ses portes qu'en 1944.
Musicienne (chanteuse soprano dramatique)
Études chez les soeurs de Jésus-Marie de Sillery, avec la professeure Céline Marier, puis à Paris auprès de Gabriel Fauré. Professeure de musique. Fondatrice du Conservatoire de musique de Québec en 1910.
Elle était la fille de Louis-Auguste Fafard et d'Alphonsine Couillard-Dupuis de l'Epinay-Dupuis. Née à L'Islet, Adine Fafard participe activement à la vie musicale de Québec en qualité de cantatrice et de professeure de chant. Après un séjour de deux ans à Paris qui lui permet de se perfectionner en chant et en piano, elle revient au pays en 1909. Elle présente un concert à l'Auditorium de Québec et toute une série au Château Frontenac. Dotée d'une belle voix de soprano dramatique, elle renonce pourtant à sa carrière de cantatrice pour se consacrer à l'enseignement dès 1911. Elle fonde alors un « conservatoire », c'est-à-dire une école de musique sans but lucratif, où se donnent principalement des cours particuliers. On rapporte que son école suscite un tel intérêt que le gouvernement de Lomer Gouin lui accorde une subvention. Il ne s'agit pas ici du Conservatoire de musique du Québec à Québec qui n'ouvre ses portes qu'en 1944.
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