Le 19 mars 1944, la Gestapo finit par l'arrêter. Il est torturé et condamné à mort, mais parvient à s'évader le 2 mai 1944. Tenant à continuer le combat, André Bollier reprend sa place dans l'atelier clandestin d'imprimerie, rue Viala à Lyon. Un mois plus tard, la Gestapo assiège l'atelier, épaulée par la milice française. André Bollier et toute son équipe, sont tués, à l'exception de Marie Guézennec . Lui-même blessé, il se suicide en se tirant une balle en plein cœur2 pour ne pas tomber une nouvelle fois vivant aux mains de l'ennemi et ses auxiliaires.
Le 19 mars 1944, la Gestapo finit par l'arrêter. Il est torturé et condamné à mort, mais parvient à s'évader le 2 mai 1944. Tenant à continuer le combat, André Bollier reprend sa place dans l'atelier clandestin d'imprimerie, rue Viala à Lyon. Un mois plus tard, la Gestapo assiège l'atelier, épaulée par la milice française. André Bollier et toute son équipe, sont tués, à l'exception de Marie Guézennec . Lui-même blessé, il se suicide en se tirant une balle en plein cœur2 pour ne pas tomber une nouvelle fois vivant aux mains de l'ennemi et ses auxiliaires.
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